Miura Takeo

Je m'appelle » Takeo  Mon nom est » Miura  J'ai » vingt-et-un ans Je suis de sexe » masculin Je suis né le » trente-et-un mars  À » Kyôto  Je suis de nationalité » japonaise et anglaise  Concernant mon orientation sexuelle, je suis » hétérosexuel  Je fais partie du groupe » Étudiant  Je suis dans le cursus » Théâtre  Je suis boursier » Non  Mon avatar est » Matsuri (Sick²)

* On raconte qu'il aurait battu une fille de sa classe au lycée au point de l'envoyer à l'hôpital.

* Apparemment, il serait toujours vierge.

* À l'époque où il jouait encore de la guitare, il aurait sorti avec son groupe un single qui serait devenu collector.

* On dit de lui qu'il devient fou dès qu'il voit une guitare.

Takeo mesure un mètre soixante-seize et pèse environ cinquante-quatre kilogrammes. Il apprécie faire du spor et en pratique deux à trois fois par semaine mais ne possède pas plus que cela un corps musclé. On va dire qu'il a juste ce qu'il faut pour un jeune homme de son âge. Il a des yeux marrons-noisettes et des traits fins et agréables à regarder. Quant à ses cheveux, il a tendance à aimer les colorer de toutes les couleurs donc il est assez difficile de savoir de quelle couleur ils sont à la base. Aujourd'hui, il les a blancs. À ce propos, il aura toujours une partie de ses cheveux sur la partie droite de son visage pour cacher le fait qu'il ne puisse pas voir de l'oeil droit bien qu'il n'en ait aucune honte.

En matière de vêtements, il a un style excentrique. Il va aimer mettre des couleurs et des vêtements qui le mettent en valeur. Puis il y ajoute sa petite touche cosmétique sur son visage et le tour est comme qui dirait joué. Il adore mettre des bonnets et met également souvent du vernis à ongles.

Et, quant aux bijoux, il en possède bien quelques uns et est percé seulement aux oreilles.

Blanc. Le décor autour de lui était tout blanc. Pourquoi est-ce qu'on lui présentait un décor blanc alors que sa vue était aussi sombre ? Il n'y voyait qu'à moitié et il ne comprenait pas pourquoi. Il essaya de regarder autour de lui et aperçut une perfusion à sa gauche. Il était donc à l'hôpital. Que s'était-il passé pour qu'il finisse à l'hôpital ? La raison venait-elle du fait que l'un de ses yeux était complètement bandé ? Il y avait trop de questions sans réponses mais on allait bientôt répondre à quelques unes.

« Monsieur Miura, je vois que vous êtes réveillé, sortit une voix de nul part, Vous êtes à l'hôpital. Est-ce que vous vous souvenez de ce qui est arrivé ? »

Mais il ne répondit pas. Il se contenta d'essayer de regarder l'infirmière qui venait d'apparaître auprès de lui. Avec son oeil bandé, c'était difficile mais il finit par l'entr'apercevoir tandis qu'elle lui apprenait pour quelle raison se trouvait-il ici. Une lourde charge lui était tombée à la figure à la maison après qu'il eut éjecté au loin sa mère pour que cela ne tombe pas sur elle. Sauf que ce n'était pas ce dont il se souvenait.
Sa mère était venue le chercher dans sa chambre alors qu'il venait de rentrer d'un week-end. Son père souhaitait lui parler dans le salon. Il avait haussé un sourcil car cela était rare que son père daigne lui adresser la parole. Il avait été élevé assez traditionnellement à Kyôto où il fallait qu'il passe par sa mère s'il avait envie quelque chose de la part de son père. Si son père avait également envie de lui communiquer quelque chose, il passait par sa mère et ainsi de suite. Il avait été rare qu'ils aient des confrontations directes.
Il le savait, cela ne présageait rien de bon. Il était entré dans le salon et n'avait pas eu le temps de se protéger que sa propre guitare électrique s'abattait sur son visage. Le visage en feu, en sang, il ne se mit pas à pleurer alors que la douleur était atroce. Assailli des vulgaires propres de son père, il portit néanmoins sa main à son visage et y commença à y avoir de plus en plus flou. Pourtant, il distanguit nettement sa main immaculée de sang. Puis, il s'écroula au sol et son dernier regard se porta sur sa guitare sèche déjà détruite et brûlant dans le petit jardin attenant à la pièce.

Il le savait qu'il l'avait mérité. Un soir, il avait disparu et était parti jouer de la guitare dans un bar avec des ami(e)s après une violente dispute avec son père. Sa petite-soeur, de trois ans sa cadette, s'était inquietée et était partie à sa recherche pour venir par se faire renverser par une voiture. Le verdict était vite tombé : hémorragie cérébrale. On essaya de lui rappeler qui elle était et qu'elle avait une famille. En vain. Jusqu'au jour où elle se souvint subitement de qui était son frère et qu'elle tente d'attenter à sa vie. Cela était vain. Elle était vouée à finir sa vie à l'hôpital où on prendrait toujours soin d'elle. Et lui, il en était l'unique fautif.

Ce fut pour cela qu'il ne fut pas surpris de ne pas voir venir ses parents à l'hôpital. Son père lui en voulait, sa mère le suivait comme un petit toutou de peur qu'un autre malheur ne puisse subvenir. Apparemment, c'était elle qui avait appelé les urgences pour lui. Mais, pourquoi n'avait-elle pas réagi plus tôt ? Elle le savait. Elle savait ce qui allait se passer. Pensait-elle elle aussi qu'il fallait qu'on le punisse ? Pourtant, il se souvenait d'elle prenant soin de ses enfants comme les prunelles de sa vie. C'était insensé.
Takeo avait attendu que l'infirmière parte et s'était mis à pleurer. Seul. Dans cette chambre blanche et froide. Il avait pleuré et plus encore tant sa blessure lui faisait mal. Il n'était pas dupe ; l'infirmière ne le lui avait pas encore dit mais il avait perdu la vue à l'oeil droit. Il le pressentait parce que la douleur n'était pas comme les autres bien que la douleur qui l'assaillait le plus de toutes parts était celle faite au coeur. S'en remettrait-il seulement un jour ?

Aujourd'hui, il vit en Corée du Sud. Il s'est exilé là-bas après en avoir fait de toutes les couleurs à ses parents lors de son lycée. Lorsqu'il était rentré de l'hôpital, il avait découvert que sa chambre n'était plus que néant et un mot était gravé indélébilement au mur : « Meurs. ». Ce n'était pas juste.
N'ayant pas perdu de sa vitalité, ni de son intellect, il réussit à entrer dans la Korean Art Institute où il prit le chemin du théâtre. Pour ne pas montrer que son esprit était brisé et comme il avait toujours été bon comédien, ce fut une discipline qui eut tôt fait de le passionner. De toute façon, après ce qui était arrivé, il était clair qu'il ne toucherait plus à la musique et qu'il n'en écouterait plus. Cela était prohibé. Le théâtre lui fit oublier ce passé trop triste pour quelqu'un de son âge et lui retraça un chemin vers un avenir moins incertain.

Pseudo » Kaede
Âge » xx ans
Je RP depuis » dix ans
Ce que je pense du forum / Comment je l'ai trouvé » Le design est vraiment magnifique. Il ne pique pas les yeux et les couleurs sont très agréables   (ET J'ADORE LES RILAKKUMAS ! MERCI D'AVOIR MIS DES RILAKKUMAS   ). Après un petit university comme on les aime ! Je ne doute pas de pouvoir m'amuser ici   .
J'espère que vous allez aimer mon petit Takeo et j'ai hâte de rp avec vous !  

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